- EAN13
- 9782721009401
- Éditeur
- Des Femmes
- Date de publication
- 04/05/2023
- Collection
- Poésie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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« Chaque être en moi est un oiseau. Je bats toutes mes ailes. Ils voulaient te
retrancher de moi mais ils ne le feront pas. Ils disaient que tu étais
infiniment vide mais tu ne l’es pas. Ils disaient que tu étais si malade que
tu agonisais mais ils avaient tort. Tu chantes comme une écolière. Tu n’es pas
déchirée. » A. S., Pour fêter ma matrice « Voici enfin accessibles en français
les œuvres poétiques d’Anne Sexton, qui figurent parmi les plus marquantes et
reconnues de la littérature américaine au XXe siècle. On ne peut que se
réjouir de cet événement littéraire, rendu possible grâce aux éditions des
femmes-Antoinette Fouque […]. Comment s’expliquer, jusqu’à ce jour, le peu
d’écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s’est imposée
outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes
les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent
prétendre, si ce n’est par une certaine lenteur à s’ouvrir à la poésie venue
des États-Unis ? » P. G.
retrancher de moi mais ils ne le feront pas. Ils disaient que tu étais
infiniment vide mais tu ne l’es pas. Ils disaient que tu étais si malade que
tu agonisais mais ils avaient tort. Tu chantes comme une écolière. Tu n’es pas
déchirée. » A. S., Pour fêter ma matrice « Voici enfin accessibles en français
les œuvres poétiques d’Anne Sexton, qui figurent parmi les plus marquantes et
reconnues de la littérature américaine au XXe siècle. On ne peut que se
réjouir de cet événement littéraire, rendu possible grâce aux éditions des
femmes-Antoinette Fouque […]. Comment s’expliquer, jusqu’à ce jour, le peu
d’écho reçu en France par une voix dont la puissante originalité s’est imposée
outre-Atlantique dès le début des années 1960, qui fut récompensée par toutes
les distinctions littéraires auxquelles les poètes américains peuvent
prétendre, si ce n’est par une certaine lenteur à s’ouvrir à la poésie venue
des États-Unis ? » P. G.
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