- EAN13
- 9782344027738
- ISBN
- 978-2-344-02773-8
- Éditeur
- Glénat Livres
- Date de publication
- 24/10/2018
- Collection
- La Société de géographie - La Société des explorateurs
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 28,5 x 21 x 1,8 cm
- Poids
- 1035 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Les Premiers voyageurs photographes
1850-1914
De Olivier Loiseaux, Gilles Fumey
Préface de Jean-Robert Pitte
Glénat Livres
La Société de géographie - La Société des explorateurs
De l’Orient à l’Occident, un tour du monde de l’Histoire photographique de 1850 à 1914
Le premier procédé de fixation d’une image sur une plaque de cuivre est mis au point en 1839 par Louis Daguerre. Dix ans plus tard, un premier livre entièrement illustré à l’aide de ce procédé révolutionnaire retrace la mission de Maxime du Camp et Gustave Flaubert en Égypte. Ce carnet appartient aux collections de la Société de géographie, aujourd’hui mises en lumière dans ces pages.
À la fois livre d’Histoire du monde et de la photographie, cet ouvrage est une invitation au voyage, à la (re) découverte des premières civilisations, grâce des clichés pris sur le vif par des explorateurs infatigables, épris de découvertes. Moment d’histoire également celui où le colon immortalise sa rencontre avec le « bon sauvage » dans les terres éloignées des continents africains, américains ou asiatiques.
Les techniques photographiques se développent rapidement à partir de 1850, améliorant la qualité de l’image, réduisant le temps de pose, et offrant ainsi un moyen tangible et concret d’enregistrement de leurs missions, rencontres et aventures. Le XIXe siècle est en effet secoué par de profondes et rapides mutations : découvertes ethnologiques, colonisation, ou encore révolution industrielle. Ces bouleversements se prolongent jusqu’en 1914 où l’Homme part du principe qu’il a découvert tout le globe terrestre et se tourne vers l’espace et les fonds marins.
Face à un monde en pleine ouverture, le voyageur photographe collecte, enregistre, répertorie et classifie l’information. Par son travail personnel et parfois intimiste, il répond la fois à la soif de connaissances nouvelles de ses contemporains, au besoin de conserver des traces de mondes en péril ou d’un passé révolu et au désir de suivre l’émergence de réalités nouvelles. Se mêlent alors d’impressionnants clichés aux techniques variées – cyanotypes, plaques de verre, premières polychromies –, chargés d’Histoire et porteurs d’idéologies.
Le premier procédé de fixation d’une image sur une plaque de cuivre est mis au point en 1839 par Louis Daguerre. Dix ans plus tard, un premier livre entièrement illustré à l’aide de ce procédé révolutionnaire retrace la mission de Maxime du Camp et Gustave Flaubert en Égypte. Ce carnet appartient aux collections de la Société de géographie, aujourd’hui mises en lumière dans ces pages.
À la fois livre d’Histoire du monde et de la photographie, cet ouvrage est une invitation au voyage, à la (re) découverte des premières civilisations, grâce des clichés pris sur le vif par des explorateurs infatigables, épris de découvertes. Moment d’histoire également celui où le colon immortalise sa rencontre avec le « bon sauvage » dans les terres éloignées des continents africains, américains ou asiatiques.
Les techniques photographiques se développent rapidement à partir de 1850, améliorant la qualité de l’image, réduisant le temps de pose, et offrant ainsi un moyen tangible et concret d’enregistrement de leurs missions, rencontres et aventures. Le XIXe siècle est en effet secoué par de profondes et rapides mutations : découvertes ethnologiques, colonisation, ou encore révolution industrielle. Ces bouleversements se prolongent jusqu’en 1914 où l’Homme part du principe qu’il a découvert tout le globe terrestre et se tourne vers l’espace et les fonds marins.
Face à un monde en pleine ouverture, le voyageur photographe collecte, enregistre, répertorie et classifie l’information. Par son travail personnel et parfois intimiste, il répond la fois à la soif de connaissances nouvelles de ses contemporains, au besoin de conserver des traces de mondes en péril ou d’un passé révolu et au désir de suivre l’émergence de réalités nouvelles. Se mêlent alors d’impressionnants clichés aux techniques variées – cyanotypes, plaques de verre, premières polychromies –, chargés d’Histoire et porteurs d’idéologies.
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