- EAN13
- 9782823617283
- ISBN
- 978-2-8236-1728-3
- Éditeur
- Éditions de L'Olivier
- Date de publication
- 02/09/2021
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 384
- Dimensions
- 20,5 x 14,2 x 2,5 cm
- Poids
- 390 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Rien à déclarer
De Richard Ford
Traduit par Josée Kamoun
Éditions de L'Olivier
Littérature étrangère
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La vie, ce sera ça, désormais, pensa-t-il. Un catalogue. Les conversations, les rencontres, les gens, les départs, les arrivées. Les choses qui passent. Rien d’effroyable. »
À New York ou dans le Michigan, à La Nouvelle-Orléans, à Paris, à Dublin, des hommes et des femmes se penchent sur leur passé. Solitaires le plus souvent, parfois malgré eux (ils sont séparés, veufs ou simplement célibataires), ils s’interrogent aussi sur leur avenir. Sans amertume, même quand la nostalgie joue en sourdine la petite musique des regrets, la ritournelle des occasions perdues et des rendez-vous manqués.
Rien d’autobiographique dans ces nouvelles, nous assure l’auteur. On est pourtant tenté d’y lire, entre les lignes, le bilan de la maison Ford. Car s’il ne dit jamais « je », il y a un peu de Richard Ford dans chacun de ces personnages, ne serait-ce qu’un certain goût pour l’ironie.
Tout en saluant au passage deux de ses modèles : James Salter, pour sa précision, sa cruauté et sa mélancolie, et Alice Munro, championne incontestée du discours indirect libre.
À New York ou dans le Michigan, à La Nouvelle-Orléans, à Paris, à Dublin, des hommes et des femmes se penchent sur leur passé. Solitaires le plus souvent, parfois malgré eux (ils sont séparés, veufs ou simplement célibataires), ils s’interrogent aussi sur leur avenir. Sans amertume, même quand la nostalgie joue en sourdine la petite musique des regrets, la ritournelle des occasions perdues et des rendez-vous manqués.
Rien d’autobiographique dans ces nouvelles, nous assure l’auteur. On est pourtant tenté d’y lire, entre les lignes, le bilan de la maison Ford. Car s’il ne dit jamais « je », il y a un peu de Richard Ford dans chacun de ces personnages, ne serait-ce qu’un certain goût pour l’ironie.
Tout en saluant au passage deux de ses modèles : James Salter, pour sa précision, sa cruauté et sa mélancolie, et Alice Munro, championne incontestée du discours indirect libre.
Commentaires des lecteurs
Richard Ford à son meilleur
Pendant une traversée en car-ferry un homme croise le regard d'une femme qui lui rappelle la sienne, qui l'a quitté des années auparavant. Dans un hôtel à la frontière canadienne, à Sault Sainte-Marie (beauté des noms de lieux chez Richard ...
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